<br /> Remarquable cette ODYSSEA devrait apporter 200.000 € de subventions, BARATIN de gestionnaire  pour jeter la poudre aux yeux des Citoyens de St Cyprien.<br /> <br /> <br /> Une perte énorme ne sera jamais compensée, les ventes en soldes du patrimoine sont supérieures à 4.000.000 €, elles apportent le désespoir avec l'augmentation des impôts qui est inéluctable. Les<br /> responsables sont aux manettes avec thierry Del Poso, après lui le déluge.<br /> <br /> <br /> Les départs des citoyens qui redoutent cette gestion dispendieuse a commencé, ils fuient pour des cieux plus cléments, des communes moins dépensières mieux gérées...fuyons ou .....<br />

<br /> Je comprend pas tout mais on a dit à mon grand-père qu'il pourait aller au Portugal avec ce programme Odyssea. Et les gens de Montescot et de Latour aussi puisque le port est maintenant<br /> un peu a eux.  Quelqu' un pourait me dire si c est vrai et si les subventions serviront  a aller faire nos courses là bas et eux chez nous? Grand-père regrette qu'on trouve peu<br /> de sardines en Méditerranée.Il leur en aurait vendu mais il parait qu'ils en ont plus que nous. Il demande aussi si le voyage doit se faire obligatoirement en bateau depuis notre<br /> port..(il se fait vieux et il décroche. Mais moi je suis plus jeune et j'ai pas su quoi répondre).<br />

<br /> On croyait en avoir fini avec l’engrenage infernal des politiques de comptoir, celles qui s’élaborent non en vertu des besoins<br /> des populations, mais dans l’objectif affiché et cynique d’obtenir des subventions. Visiblement, il n’en est rien : la mécanique de la « pompe à fric » fonctionne toujours !<br /> Il suffit pour l’amorcer de disposer d’un technocrate attentif à l’air du temps et suffisamment zélé pour prévenir les besoins et les désirs de ses maîtres-employeurs. Ils s’engouffreront<br /> d’eux-mêmes dans le projet. Experts dans le faire-semblant, ils auront l’habileté de faire mousser les quelques idées mises en ordre par les services et illustrées comme il se doit de chiffres,<br /> de courbes et de graphiques, de les prendre et de les reprendre inlassablement à leur compte en réunions et en meetings. Par le jeu « subtil » des réceptions et des voyages d’études,<br /> ils convaincront d’autres partenaires en mal de notoriété ou en panne d’imagination, et tout ce petit monde finira par croire à ce qu’il dit surtout lorsque les premières subventions tomberont,<br /> attribuées par d’autres technocrates et politiques, d’un autre niveau certes mais qui trouveront eux  dans l’engagement du terrain la justification du<br /> bien-fondé du système élaboré dans leur « usine à gaz » et qui justifie leur emploi et leur mission.. Et la boucle est bouclée. Et le « mal » est fait : par des<br /> autosuggestions successives, sans aucun contrôle véritablement démocratique, une idée papier a pris la consistance d’une évidence et la dureté des certitudes pour toute une série de décideurs. La<br /> subvention viendra si besoin figer les hésitations en récompensant pudiquement les premiers efforts consentis. La perspective d’un pactole à venir incitera à poursuivre, sans qu’il soit jamais<br /> fait mention des participations attendues de la part des collectivités. Les retombées médiatiques seront savamment étalées dans le temps, et le projet sera opportunément rappelé lors des moments<br /> clefs des « rendez-vous démocratiques ».<br /> <br /> <br /> Faut-il pour autant condamner Odyssea ? Difficile à dire puisque rien de concret n’a réellement filtré.  Qui peut d’ailleurs se déclarer contre l’objectif avancé : « Renforcer l’attractivité économique et touristique » ? Peut-on souhaiter<br /> l’inverse ? Mais qu’est-ce que cela veut dire au juste ? De même, peut-on être contre la baisse des impôts, la baisse du chômage, la baisse de la délinquance ?  Peut-on vouloir le malheur de la ville et de ses habitants ? Non, bien sûr. Mais peut-on se satisfaire de déclarations d’intention qui, sous couvert de<br /> subventions à venir, taisent à la fois les aspects concrets du projet et les obligations locales qu’il induit ? Branchés directement sur la « pompe à fric » nos édiles ont la tête<br /> qui tourne et en oublient leur devoir d’information complète et transparente. A moins qu’ils n’aient rien d’autre à dire ? La démarche, mal-née et masquée, serait alors sans doute vouée au<br /> cimetière des utopies. Pas de quoi se réjouir.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br />  <br />