3 plaintes ont été déposées en 2011
en gendarmerie de Saint-Cyprien:
- 2 par M. Del Poso
- 1 conjointement par M. Humpage et Mme Targues
En voici la teneur:
1. Plainte de M. Del Poso
Cette plainte fait suite à la conférence de presse de M. Del Poso (Cf. le journal "l'Indépendant du 1er juillet 2011) où, tout en se plaignant que "le PS catalan veut sa peau" (sic), il annonçait qu'il "rétorque au pénal contre ses dissidents". La riposte est assez grossière puisqu'elle repose sur deux assertions fantasques:
- d'une part que les plaintes déposées sur 4 dossiers communaux faisaient état de "délits fictifs" : il a pu constater durant sa garde à vue le caractère concret de ces procédures
- d'autre part il osait prétendre que ce n'était pas lui, mais le terroriste Jean Jouandet, qui avait désigné le préfet comme responsable du rejet de l'offre présentée par Nexity-EDF pour l'achat du camping Al Fourty. Il suffit de ré-écouter l'enregistrement de la séance du conseil municipal pour établir que c'est un énorme mensonge de sa part.
L'inanité de ces allégations, réfutées lors de l'audition en gendarmerie de Saint-Cyprien le 29 août 2011, n'a apparemment pas convaincu car à ce jour aucune suite n'a été donnée à cette plainte
2. Plainte de M. Del Poso
La deuxième plainte, simultanée, porte sur 4 commentaires parus sous deux articles de ce blog en date du 15/06/2011 et du 25/06/2011. Deux de ces commentaires évoquaient M. Benkemoun et Mme Pineau qui ne s'étaient pas associés à la démarche ce qui la rendait irrecevable. Les deux autres "touchaient" le maire lui-même sans que cela ne relève de la diffamation.
Là encore l'inanité de ces allégations, réfutées lors de l'audition en gendarmerie de Saint-Cyprien le 31 août 2011, n'a apparemment pas convaincu car à ce jour aucune suite n'a été donnée à cette plainte
3. Plainte de M. Humpage et de Mme Targues
La troisième plainte, également simultanée, émanait de Mme Targues et M. Humpage en leur qualité de directeurs successifs de l'EPIC.
- Mme Targues se plaignait de diffamation et calomnie car ayant été citée nommément dans le blog à propos de sa nomination annulée par le TA. Or elle avait déjà demandé que son nom en soit occulté ce qui, par délicatesse, avait été fait bien que cela ne soit pas exigible s'agissant de la reproduction d'un jugement par définition public.
- M. Humpage cherchait à rétorquer par la voie judiciaire, avec accusation de diffamation et calomnie, aux articles et commentaires parus le 29 et 30 juin 2011 suite au décès d'Emile Traissac. En réplique, il a été exposé que les pièces en notre possession tendaient à établir que l'autorité hiérarchique (lui en l'espèce) semblait bien avoir commis d'une part un abus de faiblesse en "recueillant" l'accord d'une personne âgée, démunie, malade, dépendante et isolée et d'autre part un détournement de procédure en combinant illégalement congédiement amiable négocié et licenciement économique unilatéral.
Là encore l'inanité de ces allégations, réfutées lors de l'audition en gendarmerie de Saint-Cyprien le 29 août 2011, n'a apparemment pas convaincu car à ce jour aucune suite n'a été donnée à cette plainte
L'article du 1er juillet 2011 précité écrivait "et Thierry Del Poso de rappeler que toute personne peut déposer plainte pour n'importe quoi et autant de fois qu'il lui plaît sans que cela soit synonyme de culpabilité, de mise en examen ou de condamnation". Dans sa politique d'intimidation des insoumis et d'instrumentalisation de la Justice, il a persévéré en 2012
... à suivre