Lu dans l'éditorial de Christophe Barbier dans le dernier Express :
"ce n'est pas fini: on croit griller des fusibles, on détruit une digue ... La réalité le rattrape et l'urgence s'impose: il n'y a plus d'individus défaillants, il y a un système à bout de souffle; il n'y a plus d'hyperprésidence contestée, il y a une crise de régime ... La plupart ... sont épuisés, qui jouent la comédie du pouvoir, commentant sans cesse une actualité qui les dépasse et pataugent dans des dossiers qui n'intéressent personne. Promis à une grande lessive, comment peuvent-ils travailler sereins et efficaces, à sortir de la crise financière, économique, sociale, éthique? l'administration ne saurait leur obéir ni l'opinion les croire"
toute ressemblance avec une réalité locale connue ne peut qu'être le fait d'une imagination malveillante.