Le tourisme de Saint-Cyprien est à l'office ... comme la concierge parisienne était toujours dans l'escalier ... et l'office est à quai.
Pour que le conseil municipal extraordinaire ne puisse se mêler du tourisme, le maire a dit "c'est l'affaire de l'EPIC", ça ne regarde pas les conseillers municipaux
- le même (maire) et le même jour (conseil du 9 mars) il demande au conseil de voter une subvention de 250 000 € à l'office (sans doute pour pouvoir commencer à payer BERTRAND, ex directeur au sein de cet office)
- le même (maire) et le même jour (conseil du 9 mars) disserte sur la gestion du camping Al Fourty et la façon dont l'office pourrait grâce à lui contribuer à améliorer les ressources du budget communal.
Tiens! tiens! voilà qu'aussi bien en dépenses qu'en recettes il y a quelque lien entre le budget de la commune et celui de l'EPIC et qu'il y a quelque compétence du Conseil Municipal à prétendre réfléchir sur le tourisme.
Ce qui est clair en tout cas c'est que la présidente de l'EPIC, par ailleurs 1ère adjointe, (vous savez bien: c'est celle qui siège gentiment à la gauche de M. RAMON) ne s'intéresse pas du tout à ça: on est à jeun de l'avoir entendue le 9 mars parler de son office.
Sémantiquement, l'office est selon le contexte un établissement, une fonction, une vénalité, une messe ou une souillarde.
Ite missa est, a proféré le grand prêtre de la principauté. On n'est pas obligé de dire amen.