Léger et serein - qui a dit "faiblesse tranquille" ? - le maire esquive la responsabilité en mélangeant les problèmes et en faisant porter le chapeau aux autres de décisions prises en catimini et à grands frais.
Il dit (la semaine du Roussillon du 27) que c'est nous qui voulons que "la ville se sépare des personnels mis en examen ou aux salaires trop importants" sans que nous "importe le coût que représentent ces licenciements". Mensonge, mensonge :
Nos déclarations du 13 novembre en conseil municipal sont claires et tout à fait contraires. Nous avons distingué deux problèmes très distincts à traiter séparément :
1. quant aux gros salaires à dégraisser : "Ils (Pugnace) ne veulent pas que le limogeage de cadres anciens soit négocié en tête à tête discrets et que leur départ s’assortisse d’indemnités démesurées au motif qu’ils avaient obtenu par complaisance des clauses contractuelles ultra avantageuses et dérogatoires à la convention collective et aux principes de morale et de droit des contrats."
2. quant aux personnels mis en examen : " Ils (Pugnace) n’admettent pas que l’on puisse seulement envisager de monnayer aux frais de la commune le départ des hauts fonctionnaires fautifs, poursuivis par la justice, qui ont mis à sac la commune, contre qui la commune a décidé de se porter partie civile et qui n’ont droit qu’à la révocation disciplinaire pour faute personnelle et cumul illégal d’emplois public et privé."
Il dit et veut faire exactement - la rumeur affirme qu'il l'a déjà fait : nous attendons confirmation pour apprécier - l'inverse de ce que nous demandions et de ce que la population attend de la nouvelle municipalité.
à suivre