Il y a MONTOR, il fallait s'y attendre !
et, surprise, surprise: il y a JOUANDET !
MONTOR : souvenez-vous de ce que nous écrivions le 18 janvier "ce qui est intéressant c'est de voir tout à côté le nom de F. MONTOR avec la mention (suspension 01/04/09). On nous avait pourtant expliqué quand on a recruté Mme la directrice qui n'est pas générale qu'elle se positionnait sur le poste de MONTOR dont le contrat expirait début décembre et n'était pas renouvelé. L'a-t-on mis là, comme sur l'organigramme de la mairie, pour justifier dans quelque temps quelque procédure de licenciement bien indemnisé comme pour M. BERTRAND ? "
On n'en est pas encore à la transaction mais ça ne saurait tarder compte tenu des pratiques conciliantes de la maison. On va rapidement avoir un protocole de transaction amiable pour éviter bien sûr les aléas du Conseil de prud'homme (refrain connu). Donc pour l'instant, on désigne des avocats (toujours le même cabinet, quelle aubaine pour lui que cette commune!) et on charge la directrice, la mal nommée, de "défendre les intérêts" de l'EPIC.
JOUANDET, aussi: sachez que ce pugnace mal élevé a contesté au tribubal administratif l'élection de la présidente et de la vice-présidente intervenues le 13 novembre 2009 lors d'une réunion à laquelle on avait omis de convier 4 membres sur 13. L'observation n'ayant évidemment recueilli que l'indifférence souriante de la présidente et la vive indignation de la vice-présidente il a fallu faire un recours au TA. C'est important car la nullité de ces désignations entraîne celle de toutes les décisions qui ont suivi et qui vont suivre. Donc l'EPIC demande que l'on désigne un avocat et que l'on autorise la directrice, la mal nommée, à défendre les intérêts (de la présidente) de l'EPIC ... voir plus haut
mais ce n'est pas tout : à suivre