L'ordre du jour du comité du Tourisme du 4 février prévoyait, après les questions déjà évoquées ou des adhésions banales à certains organismes extérieurs, la rubrique anodine "affaires diverses".
Ce qui n'est pas banal c'est que notre travailleur clandestin (Cf article précédent du 2 février), M. Matthew Humpage, l'américain docteur en sémiotique, langage et littérature appliqué au polythéisme antique, missionné pour s'occuper de grand stade, des musées et du tourisme, celui-là même qu'on nous avait présenté le 13 janvier sans nous dire comment on le recrutait (et quelles indemnités d'arrivée ou de départ on lui accordait, style BERTRAND ou MONTOR ou mieux encore), donc ce Monsieur c'était "Monsieur Affaires Diverses"
Expliquons le subterfuge : la présidente toujours soucieuse évidemment de donner une apparence de régularité aux choses clandestines de son établissement, (clandestines quand elles ne sont pas secrètes: exemple Bertrand), a évoqué le recrutement de ce monsieur (par sa directrice mal nommée) ... pour le faire valider après coup, à la sauvette et dans le vague, par un comité rendu docile par la carotte et le baton qui l'avaient conditionné à tout.
Valeur juridique de ce bavardage improvisé et non programmé = ZERO
affaires diverses à suivre