Bien sûr il ne s'agit pas des cadres des Utrillo ou des Desnoyer mais des cadres de direction des musées. Une délibération du Conseil municipal a décidé le 20 juin de mettre à la disposition des musées deux cadres de la commune sans que le besoin n'en ait été expliqué et sans que ces musées n'affichent une fréquentation (Cf. article du 28 juin : une recette de 5 700 € par an) justifiant un tel renfort de personnel. Il est vrai que simultanément la rumeur locale a annoncé le départ inopiné de Mme Misme, la gérante de SARL (société "guides sans frontière") installée de fait depuis 2010 dans la posture de conservatrice par la volonté décisive de MM Humpage et Del Poso (à 3 000 euros par mois plus TVA)
Y a-t-il une relation entre ce départ de la pseudo-conservatrice et ces deux affectations? Quel est le motif de cette rupture avec la société GSF, si chère à M. Humpage, au moment où il a lancé un appel d'offres pour renouveler le contrat dit Artothèque : éviction, disgrace, dissension ou pression extérieure? Y a-t-il un rapport avec le départ prochain de M. Humpage, également annoncé par la méchante rumeur? Pourquoi celui-ci quitterait-il son confortable office sans attendre que le Tribunal administratif ait annulé une troisième fois son contrat de directeur ou que soit conclue l'enquête ouverte suite à notre plainte auprès du procureur de la République ?
Bien des interrogations se posent sur lesquelles le maire serait bien venu à fournir des explications. Dans la marine on dit que les rats quittent le navire avant qu'il ne coule mais en général les pachas restent jusqu'au bout. La question n'en reste pas moins de savoir qui coule, les musées ou ses deux pachas (du musée et de l'office), ou tout à la fois. Les super-pachas successifs, Mme Pineau et M. Del Poso, (dont en revanche la rumeur n'a pas encore annoncé le départ) ont sans doute des choses à expliquer, aux habitants bien sûr, sur tout ça