L'ex TPG du département répondra aux questions sur son rôle professionnel vis à vis de la gestion Bouille. Auparavant je souhaite dissocier des éléments administratifs de cette question les allusions perfides que distillent les messages de MIMI. Je pourrais les traiter, comme le méritent ses sous-entendus calomnieux, par le simple mépris. Mais je les reprend:
- Mimi veut que je lui parle de mes "déboires ès qualité de Préfet de la Réunion". Il devrait changer d'informateur ou mieux "traiter" sa source. Je n'ai jamais été préfet de la Réunion, il doit confondre avec un ancien préfet des PO qui est parti là-bas. Et puis, quel serait le rapport avec Saint-Cyprien? avec Bouille? avec 2009? Lancer de fausses info, sans rapport avec le sujet du lieu et du jour, pour dévaloriser ("déboires") en glissant un détail qui fait vrai ("préfet") près d'un autre qui est faux ("la Réunion") pour laisser entendre qu'on sait et qu'on pourrait dire des choses qui vont faire mal mais qu'on est incapable de formuler ... C'est de l'action psychologique (très) bas de gamme qui déshonore son auteur et son pseudo informateur.
- quant aux "petits services dont on parlera plus tard" que Bouille "rendait en qualité de maire" c'est du même tabac, mais en plus odieux genre démagogie populiste du "tous pourris", tous et même ces hauts fonctionnaires et comptables supérieurs qui prétendent dire la loi et la faire respecter. Mimi parlons-en tout de suite. J'avoue avoir reçu régulièrement (outre ma carte de bon anniversaire et mon invitation au repas des vieux) un carton d'invitation (2 personnes) pour les concerts donnés en août dans l'Eglise de Saint-Cyprien, j'avoue y être allé quelques fois avec ma fille et y avoir été reçu (très bien) par le directeur du tourisme (aimables propos à l'entrée et verre d'eau à l'entracte). J'avoue que le maire Bouille a célébré le mariage d'une autre de mes filles et lui a envoyé un bouquet de fleurs pour s'excuser de ne pas venir à l'apéritif auquel nous l'avions convié. N'ayant pas souvenir d'un seul déjeuner ou dîner partagé avec M.ou Mme Bouille, ni chez lui ni à l'Almandin ou ailleurs, sachant qu'il n'est jamais venu chez moi, ni moi chez lui, je cherche en vain l'élément suspect (cadeau, faveur, voire sourire ... ) dont aux yeux de Mimi j'aurais à me justifier dans mon relationnel avec le défunt maire. Sans doute Mimi saura rafraîchir la mémoire de mes neurones vacillants. Je ne me souviens que des 2 ou 3 visites en son bureau et en compagnie de quelques uns de mes voisins pour présenter des doléances sur un éclairage public excessif (merci M. l'entrepreneur amateur de tableaux) polluant nos jardins et chambres à coucher et sur des problèmes de circulation routière. Je me souviens de n'avoir pas reçu un accueil chaleureux, c'est un euphémisme, et malgré une pétition unanime des habitants du quartier nous n'avons pas eu satisfaction. Sans doute le TPG n'avait-il pas su caresser le pape dans le sens du poil ou trouver le bon chemin de Canossa (Mimi m'expliquera sans doute la finesse de son allusion)
Pour passer aux choses sérieuses, je tenterai par la suite d'expliquer ce que fait un TPG (et un Préfet) notamment vis à vis des communes, ce que j'ai fait ou pas fait durant mon temps professionnel en TG de Perpignan, de donner connaissance de quelques documents sur la gestion de Saint-Cyprien et de répondre aux questions sérieuses que cela pourra susciter.
Jean JOUANDET