"quand le maire gagne, c'est la ville qui perd", c'est l'excellent commentaire de Marie-Pierre Sadourny-Gomez à l'article de l'Indépendant - on se gaussait sous la précédente République du parti des Indépendants et Paysans en interrogeant "indépendants de qui et de quoi? " - lequel tout indépendant qu'il se nomme concluait son titre de façon définitive "à la fin c'est toujours le maire qui gagne".J'y souscris pleinement.
Mais le maire étant un sportif, entouré de sportifs de haut niveau (Olibeau bien sûr, mais aussi Berliat médaillé récent de la jeunesse et des sports, Garrido et tous les autres qui courent et qui sautent sans doute tous les week-ends) je ferai pour ma part référence à un sport dont un autre proche du maire est un professionnel reconnu puisqu'il vient de remettre par la grâce de Mme Pineau le pied et la raquette à Grand Stade d'où il avait été viré il y a quelques années (mais, outre son amitié avec le maire lui-même, il a aussi ses entrées personnelles dans la maison par une élue de son coeur et du conseil) : ce sport c'est le tennis.
En tennis c'est la dernière balle qui gagne la partie. Le 6 juillet ce n'était qu'un jeu, piètre jeu (il eut d'ailleurs fallu un arbitrage vidéo pour sanctionner les revers out). Combien de sets faudra-t-il? Ce qui est sûr c'est qu'il faut attendre la balle de match avant de lever la coupe.
ventre saint-gris 12/07/2010 17:59
Pompons en choeur ! 12/07/2010 16:00
jeu, set et match 12/07/2010 11:36
pugnace 12/07/2010 12:37
Abutere... 11/07/2010 23:14
Usque us tandem...Catilina... 11/07/2010 22:57
pugnace 11/07/2010 23:09
DesCyprianais 11/07/2010 20:13
C'estTrop 11/07/2010 18:52