Hommage à ceux qui sont constants dans leur opinion :
- bien sûr les présidente et vice-présidente mal élues
- et les 2 pugnace évidemment

Que dire des autres qui ne soit pas taxé d'injurieux? 

- de ceux qui sont passés de l'abstention ou de l'absence au vote positif : Thomas, Berliat, Deroo. Est-ce la révélation de la vérité éclatante qui a mobilisé l'ancien inspecteur du travail et ancien adjoint au personnel? Ou plus vraisemblablement le serment d'allégeance au chef contre vents et marées, contre morale et bon sens, contre réalisme et courage.

- de ceux qui ont carrément changé d'avis en 3 semaines: Heger, Castellani, Jalabert. C'est quoi, la carotte ou le bâton? ce n'est pas en tout cas la logique, la cohérence, le respect de soi.

- de ceux qui ont préféré laisser aux autres le soin d'obtempérer : Lormand, Mazurek. Là le doute fait place à l'évidence: d'autres intérêts sont en jeu que les quelques centaines de milliers d'euros de M. BERTRAND. L'entreprise d'abord, la commune ensuite ...OK mais alors pourquoi prétendre s'occuper des affaires communales ?  

CONCLUSION
on a 2 délibérations contradictoires. Celle du 13 janvier et celle du 4 février.
Match nul. Ou comme en tennis un set partout.
En combien de sets se joue la partie: 3 comme chez les femmes (Cf. les présidences) ou 5 comme chez les hommes (Cf. le maire ?)
Ou bien y a-t-il un arbitre pour relever que quand un match est joué dans les règles on ne le rejoue pas avec des remplaçants dopés.


NB: c'était le grand rassemblement des renforts autour de la malheureuse présidente (un maire d'un côté, un autre avocat de l'autre) et de l'insignifiante directrice (que M. CIVALE qui n'a rien à faire là a suppléée en permanence,  Cival est donc devenu l'homme à tout faire, pour noyer le poisson et teinter de poudre pseudo-règlementaire les oukases municipaux. Est-il habilité à participer, au lieu et place de la directrice mal nommée, et est-il habilité aux secrets de l'EPIC?)

le maire soi-même était là pour expliquer qu'il a pris la "décision politique de se séparer des services de Bertrand", que "son contrat est aberrant, ses montants hallucinants", que "faire un tel chèque est délicat" mais que sa décision poltique est longuement réfléchie" et qu'elle est en "équilibre entre le moralement et le financièrement possible" 

l'avocat de la commune, Me BECQUE, ex-président du nouveau centre, était là. Il a tenté d'expliquer pourquoi il ne se sentait pas capable de gagner contre Bertrand, de faire tomber son contrat aberrant, signé par un responsable non qualifié et donc pourquoi il faut donner son parachute doré (ce n'est pas sa formule) à M. BERTRAND

Et puis toute la troupe des bien-votants était là sauf les gens du sport (Teixidor et Carmignac en déplacement professionnel) et le maire a pu sortir confiant: tout ce petit monde a bien voté; c'est-à-dire s'est déjugé sans scrupule ni hésitation.

Il y avait même deux policiers en faction dans le hall.