Malgré l'accueil peu chaleureux qu'il a reçu en venant à l'improviste (sic) à la cérémonie de voeux en janvier 2010, malgré le raté dans la manoeuvre de fusion "Agglo/Rivesaltes/sud-roussillon", M. Alduy aime toujours Saint-Cyprien. A moins qu'il soit obstiné ou qu'il ne supporte pas l'échec. Ou que son ambition démographique (une agglo de 300 000 habitants) lui permette de surmonter les petites vexations venant d'en bas. Il persiste et signe dans l'Indépendant de ce jour:
" Saint-Cyprien me paraît évident pour compléter la façade méditérranéenne"
Le Barcarès et Canet ne lui suffisent plus. Il lui faut Saint-Cyprien. Et c'est évident ! ça ne se discute pas. C'est évident pour le président, au diable les souhaits des habitants de Saint-Cyprien! au diable l'identité de la commune! D'ailleurs que choisir entre Pumareda et Del Poso d'un côté et de l'autre Alduy et Jean Vila ?
Tout ça "pour rompre la fatalité du déclin" dit M.Alduy. Est-ce le bon argument pour une commune qui semble aimer s'abandonner à cette fatalité?
Au fait pourquoi la façade méditerranéenne s'arrête-t-elle à Saint-Cyprien? Argelès et la côte rocheuse n'en font-elles pas partie ou serait-ce une autre étape ? ou y aurait-il une façade bleu tendre et une façade rose ?
Il va falloir réinviter Alduy aux voeux 2011 pour qu'il explique son "évidence"