1 juillet 2011
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Le mardi 28 juin, le journal publiait un article traitant des plaintes introduites auprès du Procureur de la République et portant sur des dossiers de gestion communale. Le maire sollicité par le journaliste de donner son point de vue a refusé de le faire. Il lui a fallu une semaine pour réagir et faute d'apporter une réponse objective aux questions,il joue comme toujours de la menace et de la tromperie, ces armes mesquines des faibles.
Menace en déclarant avoir porté plainte auprès de la gendarmerie "pour dénonciation de délits fictifs", ce qui ne peut qu'accélérer l'instruction des plaintes en cours dont la P.J. a déjà les dossiers, belle menace en forme de boomerang.
Tromperie réitérée en concluant que l'opposition a vu 11 de ses procédures rejetées: qu'il les cite ... ou on va porter plainte pour fausse déclaration à visée diffamatoire.
On vous laisse découvrir dans le journal du 1er juillet la "contre-attaque" (titre du journal) d'un maire qui ne veut voir dans la dénonciation de ses fautes et erreurs communales qu'une "cabale politique envers sa personne" fomentée par le P.S. catalan. A croire que l'enjeu des sénatoriales et des législatives dépendrait de sa personne et qu'il serait devenu "l'homme à abattre". C'est vraiment se donner beaucoup d'importance personnelle alors que, en toute indépendance politique (de l'UMP et du PS et du FN) nous ne traitons que de la préservation des intérêts publics de la ville et de ses citoyens. Un peu de modestie et d'autocritique, donc de silence avant la repentance, seraient plutôt de circonstance.
Voici en revanche l'article du 28 juin qui a ulcéré M. le maire et l'a laissé sans voix, en tous cas sans autre voie de recours que de s'en remettre à son avocat.
P.S. (si j'ose dire mais je traduis "post scriptum) : BONNE FETE THIERRY, l'homme seul "contre la bêtise humaine" (sic)
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