OUI, la mise en garde à vue d'un haut fonctionnaire de la ville un an et demi après l'ouverture de l'affaire a de quoi attrister ... pour reprendre l'expression du maire qui se dit surpris (à croire que sa constitution de partie civile ne lui a pas permis de comprendre le dossier !)
voir ci-après l'article de l'Indépendant
attristant certes pour la ville de découvrir encore l'étendue du réseau qui tenait les affaires mais rassurant car cela montre que la justice suit son cours et que peut-être le jour approche où la clarté sera faite sur le passé mais aussi où l'horizon se dégagera pour aborder l'avenir avec fermeté et espoir.
Laissons donc faire la police et la justice sans préjuger de la suite.
On ne peut que s'étonner que le maire donne ainsi son sentiment à chaud. En tant qu'avocat de métier, en tant qu'employeur du gardé à vue, en tant que partie civile dans l'affaire, il aurait été mieux inspiré de respecter le secret de l'instruction en cours. Sauf s'il pense devoir se justifier d'avoir "travaillé" (plus ou moins bien) avec lui, de ne pas l'avoir licencié comme il l'a fait de Bertrand (qui lui n'a pas été impliqué dans les affaires).
A moins que craignant la réouverture de la boite de Pandore il veuille en soutenant son homme fort se sécuriser lui-même.