Dans ma Lettre ouverte au Procureur de la République de Perpignan, je m’indignais fortement de la raison de classement évoquée, soit l’insuffisance de preuves (en termes de droit « infraction insuffisamment caractérisée ») :
Pour ceux qui pensent que le décès prématuré de mon mari, Jean Jouandet, permettait (enfin) d’évacuer un dossier aussi sensible et préjudiciable aux intérêts des contribuables cyprianais, je réponds que la mort d’un homme n’ensevelit pas avec lui les réalités d’une vie qui continue.
Je les invite à (ré) entendre les raisons de ce scandale politico judiciaire dénoncé par celui même qui n’est plus là pour en parler mais dont la voix résonne toujours juste :
Vérités judiciaires et comment sortir de l'impasse ... une solution "gagnant-gagnant" intentionnellement ignorée.
Dans cette commune surchargée de taxes – impôts foncier et Habitation surfiscalisés, horodateurs, impôt GEMAPI – la vente du camping Al FOURTY représente un enjeu de plus de 10 millions d’euros, soit une année de budget communal !
De fait, un particulier a bénéficié des mannes financières municipales au mépris total de la légalité des règles de gestion des deniers publics.
En conclusion de sa démonstration, Jean Jouandet évoquait la loi de Murphy par cette variante : « S'il existe au moins deux façons de faire quelque chose et qu'au moins l'une de ces façons peut entraîner une catastrophe, il se trouvera forcément quelqu'un quelque part pour emprunter cette voie. »
Edward A. Murphy Jr, ingénieur aérospatial américain, en énonça le premier le principe avec pour adage :
« Tout ce qui est susceptible de mal tourner tournera nécessairement mal. »
Thierry DEL POSO n’a pas voulu l’entendre. Je crains qu’il n’ait fait école …
Isabelle Jouandet